Dans son bureau [Pv Kendra]

Ce matin j'avais amener mon fils à l'école maternelle, je me devais de l'amener un peu en avance, vu le travaille que je faisais, je me disais qu'il fallait bien que j'arrive à l'heure. Enfin alors que je venais d'arriver, je voyais déjà quelques agents qui étaient là, j'arrive à mon bureau et je vois la pile de dossier, apparemment le chef m'avait donné quelques affaires à régler, alors que je lève la tête et je vois le beau jeune homme qui était aussi agent, j'avais un petit flash sur lui, mais impossible de lui dire, parce que nous étions deux agents et qu'une relation entre deux agents n'étaient pas très bien vu, enfin je repose ma tête sur mes dossiers. Au bout d'une heure, je commence à prendre des notes, puis je vais dans la salle ou il y avait le café, je me sers un bol, puis je retourne à mon bureau.

Ce jour la, la jeune femme étais chez elle. Elle étais entrain de s'habiller normale d'un jean's et un haut. C'est cheveux attacher, elle prend sont gilet, prend c'est clés de sa voiture et partit de chez elle pour aller au bureau, la ou elle travailler au F.B.I ! Une fois arriver, elle ce gare donc et entra dans l'établissement, elle disais bonjour à tout le mondes qui lui sourie et qui lui salua. En fait, elle étais populaire à vrais dire et elle étais la chouchou du patron bah quoi, c'est pas ma faute :p Elle avais besoin de prendre un petit café, elle alla à la distribution et elle prend un café alors, une fois sa fait elle traversa toute la salle et entra dans sont bureau, deux trois dossiers elle s'assoit alors et commence à ce mettre au travaille et boit de temps à autre une gorger de sont café.

Alors que j'étais dans mon bureau, je vois ma meilleure amie arrivée, elle ne m'avait pas dit bonjour, peut-être qu'elle ne m'avait pas vu. Je savais qu'elle était très bien connu dans l'équipe, généralement c'était normal vu qu'elle était la seule fille et tout le monde voulait essayé de sortir avec, moi je rigolais parce qu'elle était sympa, mais bon les gens étaient tout de même fous, enfin alors que je me lève j'en avais marre de rester assis, je vais dans le bureau de ma meilleure amie et il y avait un agent qui était devant, je souris et je rentre et je m'approche d'elle pour lui faire la bise.

Salut, bah alors comme ça on ne vient pas me dire bonjour ?

Dis-je en rigolant, contrairement à moi, elle n'avait pas beaucoup de dossiers, en même temps, je prenais tous les dossiers que peu de personne voulait, les gens me disaient que je perdais mon temps, mais pourtant je réussissais toujours mes affaires, je faisais parti de meilleur Agents tout comme Kendra et aussi le nouvel agent Evan, enfin je m'assois sur la chaise en face d'elle.

Hum, désoler. J'avais la tête un peut ailleurs, excuse moi..

Tu vas bien ?

Je ne lui en voulais pas, parce que j'étais le seul dans mon bureau, je ne m'attarder pas à faire mon boulot, j'étais sur une affaire, je me devais d'y être a fond, mais bon c'est vrai que ce n'était pas du tout évident, vu que quand il y avait de plus grosse affaire, le patron nous demandés à tous de venir et il choisissait les agents qui travailleront sur l'affaire et donc les petites affaires, on devait les laisser pour le moment. Enfin alors qu'elle me dit qu'elle avait la tête ailleurs, ça devait être surement à cause d'une affaire, ce qui était bien quand on était collègue c'est qu'on pouvait en parler librement, on pouvait s'aider.

Ce n'est pas grave, je te comprends, mais que ce passe-t-il ? C'est par rapport à une affaire ou alors ta vie personnelle ?

Alors que j'étais bien assis, je bois une gorgée de mon café, oui, j'ai pris mon bol avec moi pour une petite pause, je savais qu'après je me mettrais à fond dans mes dossiers, j'avais une affaire assez compliqué, il fallait que je trouve qui avait menacé une famille et pourquoi ... C'était assez dur surtout que j'étais tout seul, mais cela ne m'empêcher pas d'en parler avec du monde qui pouvait m'aider.

Oui, ça va et toi ?

Ce n'est pas grave, je te comprends, mais que ce passe-t-il ? C'est par rapport à une affaire ou alors ta vie personnelle ?

Hum, juste que j'ai mal dormit. Rien de grave...

Ouai, ouai sa vas...

L'inconvénient quand on connaissait bien quelqu'un c'est qu'on pouvait voir si ça n'allait pas, mais ce n'était pas moi qui allait la forcée à parler, je savais que ça pouvait faire du bien, mais je ne voulais pas qu'elle sente "obligé" de me parler. C'était sans doute pour ça qu'on m'appréciait toujours, c'est que je savais faire la différence entre boulot et ami. C'est vrai que dans notre boulot, on était obligé de forcer les personnes que nous interrogeons pour savoir la vérité, on devait les bousculés sinon on n'avait jamais rien et je n'aimais pas faire ça, mais j'étais obligé et puis avec l'expérience, je voyais bien qui mentait et qui ne mentait pas, c'était un bon job, même les gens qui étaient mes amis, je voyais quand ils me mentaient ou pas. Enfin quand elle me dit qu'elle avait mal dormi, je souris, je bois une gorgée de mon breuvage et je lui dis.

Il ne faut pas faire de folie de ton corps.

je me mets à rigoler, contrairement à ce qu'on pouvait pensée de moi, j'étais quelqu'un qui avait le sens de l'humour, je savais bien-sûr resté sérieux, mais des fois je pouvais déconné surtout avec des gens que j'appréciais comme elle, alors qu'elle me répond tout en regardant ses dossiers, je me disais bien qu'il y avait quelque chose. Mais je ne voulais pas l'embêter, si elle ne me parlait pas, c'est qu'elle avait ses raisons.

D'accord, moi avec Matthew c'est l'enfer parfois, parce que quand il fait des cauchemars il me rejoint et après j'arrive pas à dormir.

Non, t'inquiète pas. Je suis rester chez moi toute seule.

C'est sur, quand tu te réveille après tes foutue.

Moi, je ne faisais pas du tout de folie de mon corps et puis je ne pouvais pas, ayant un enfant, j'étais responsable, même si c'est vrai que parfois j'aurais bien voulu avoir une relation, cela faisait assez longtemps que je n'avais pas eu de relation, mais je n'étais pas en manque, il faut dire que j'étais très vieux jeu, je sortais avec une personne, je prenais du temps à connaître, puis bien-sûr parfois je voudrais tellement avec quelqu'un avec moi, mais ce n'était pas le cas et je me contenter de mes amis, ma famille, c'est vrai qu'avec mon petit frère et ma petite soeur, ce n'était pas trop ça, mais petit a petit nous reformons une famille et ça me faisait du bien. Je rigole puis je reprends mon sérieux aussi vite.

Tu peux aussi faire des folies de ton corps toute seule, bon allez je vais arrêté de te taquiner avec ça.

Kendra était différente de moi, dans nos enquêtes elle était toujours celle qui était gentille, moi je joué le méchant, mais ça marchait tellement avec nous deux, qu'on arrivait toujours à avoir quelqu'un et les réponses à nos questions. Enfin je la regarde et je souris.

Oh oui, mais bon il est calme sinon, mais bon ce n'est pas évident, le pauvre, il a 7 ans et je sais qu'il a besoin de sa mère, mais bon ... heureusement j'ai ma petite soeur qui s'en occupe très bien et qui essaie de lui donner l'amour qu'il mérite.

Non, je préfère que sa soit un homme qui me fasse sa que de le faire seule.

Dis, elle est ou sa maman ? ...

Je rigole et quand elle se lève pour me frapper sur l'épaule, qu'elle a effleurer, je rigole, mais c'était comme ça avec elle, on se taquinait toujours, c'était surtout pour prouver qu'on s'apprécie, en tant qu'agent du FBI, je n'étais pas du genre à prendre les gens dans mes bras pour les réconforter, je n'aimais pas trop cette marque d'affection, si je dois bien avouer qu'avec mon fils, mais c'était l'une des seules personnes avec qui je me permettais de faire ce genre de geste.

Bah je me doute, mais quand on n'en a pas, il faut bien ce faire du bien non ? Enfin tu me diras vous ce n'est pas pareil.

Jhe n'avais pas pour habitude du "comment" j'ai fais mon fils, après tout tout le monde savait comment on faisait des enfants, mais c'était une période assez étrange, j'étais bourré quand j'ai couché avec la jeune femme et elle est tombée enceinte. Enfin alors que je la regarde quand elle me demande ou était la maman de mon fils.

Elle est loin elle préfère s'amuser, elle ne prend pas de nouvelle de mon fils, donc je considère que pour le moment elle est inexistante, par contre si elle veut le revoir ça sera en ma présence, je ne lui laisserais pas.

Je bois la dernière gorgée de mon café, puis je souris, je n'avais jamais perdu mon sourire, c'est vrai que je n'avais jamais dis comment j'ai rencontré la mère de mon fils, il faut dire que c'était en soirée, j'étais avec des potes et j'étais trop bourré pour me souvenir de son prénom, enfin au début vu que quand elle m'a dit qu'elle était enceinte, j'ai appris à la connaître et tout le reste.

Oui, mais, vous c'est pas pareil.

C'est sur, le laisse pas avec elle. Elle serais capable de partir avec.

Alister, hum... Je.. Je tes pas dis sur le sujet de mes parents, c'est pour sa que je suis pas bien. Du moins moralement quoi. J'osais pas te le dire, je c'est que tu t'inquiète pour moi, mais voila.. C'est dur à parle de ce sujet.

La jeune femme était une des personnes les plus importantes pour moi, en même temps c'est normal c'était ma meilleure amie, je lui avais confié le moindre parcelle de ma vie, bon je ne m'étais pas amusé a tout dire, je lui avais juste dit ce que pratiquement tout le monde savait : ma vie donc mon fils, mon frère et ma soeur, puis aussi que j'étais homo, je n'avais pas de problème avec ça, même si au début tout le monde me taquinait avec le temps et le fait aussi que je sois un des bons agents, ils avaient eu du respect pour moi, même si ce n'était pas facile du tout. Enfin alors que je la regarde et je rigole.

Oui, c'est facile pour nous.

Alors que je vois qu'elle avait fini ses dossiers, il faut dire que ma vie était facile, j'avais vraiment des gens sur qui je pouvais compté comme mon fils, quand je n'avais pas le moral, il me faisait toujours rigoler, c'était un vrai petit clown c'était surtout un ange. Enfin quand elle md it qu'il ne fallait pas que je le laisse à sa mère, je me disais qu'elle avait raison, enfin elle n'oserait pas, vu que j'étais agent fédéraux et qu'elle pouvait prendre le risque d'aller en prison.

Bah tu sais, elle ne prendra pas le risque, elle ne voudrait pas faire un séjour en prison, ça serait un risque pour elle et elle ne pourra plus avoir la garde de son fils donc si elle a un peu d'intelligence, elle ne le fera pas.

Alors qu'elle me dit mon prénom, j'ai été surpris, c'est la première fois qu'elle m'appelle comme ça, j'étais assez surpris, mais c'est qu'elle devait me dire quelque chose d'important. Quand elle me parle de ses parents, je vois bien que c'était pour ça qu'elle n'allait pas b ien, je me lève et je dépose ma main sur son épaule.

Tu me parleras quand tu y arriveras, je ne te forcerais jamais à parler si tu n'as pas envie, sache que je te soutient et je ferais tout pour que quand tu seras décidé à me parler, je serais là et je ferais tout mon maximum.

Je passe ma main sur son dos pour lui frotter doucement, qu'elle sache que je serais toujours là, je ne suis pas le genre de mec à dire des choses et de me barrer sans écouter, j'étais tout l'inverse.

Les blonde sont pas très..Intelligente, tu voit ce que je veux dire ?

Je vais le tuer... Si je le croise je le tue je le jure sur ma vie !

Je savais que je pouvais compté sur elle quoi qu'il arrive, j'en avais de la chance, mon fils était un amour, il écoutait, il faisait ses devoirs et c'était rare qu'il soit bordélique, comme tout enfant, il se dépense, mais je lui avais dis de toujours ranger quand il joue avec un jouet, il faut dire que j'étais tout de même maniaque et que je faisais tout pour que ma maison soit bien rangé, mais ce n'était pas évident, parce que je savais qu'il était malheureux d'un côté, comme chaque enfant, il avait besoin de sa maman et il me demandait souvent pourquoi sa maman n'était pas là. Je lui avais déjà expliqué que sa maman était loin et qu'elle n'avait pas les moyens de s'occuper de lui, mais qu'elle prenait des nouvelles, j'avoue, j'avais menti, mais c'était pour qu'il se sente un peu mieux, mais sinon il faisait tout avec sa marraine qu'il profitait beaucoup avec elle, sans doute représentait-elle l'amour maternelle dont il avait besoin. Enfin je la regarde dans les yeux j'avais les larmes aux yeux pas pour la femme qui était la mère de mon fils, mais pour son histoire, je rigole et je lui dis.

Oui, c'est vrai qu'elle est blonde, mais de toute façon je refuse qu'elle s'approche de lui hors de ma présence, je ne veux pas qu'elle le touche, je sais très bien qu'il va un jour me demander de faire des recherches pour retrouver sa mère, mais j'ai pas envie qu'il soit déçu.

Enfin j'étais à côté d'elle et quand elle me dit que si elle le trouvait le tueur bien-sûr, elle le tuerait et là j'ai commencé à comprendre, le gars avait dû tué ses parents et elle veut le vengé, j'aurais dû lui dire que la vengeance n'était pas bonne, mais c'était au dessus de mes forces, vu que j'aurais réagis pareil, de toute façon je la couvrirais, je n'étais pas du genre à laisser tombé mes collègues.

Sache que ce jour-là j'espère qu'on sera a deux et je te couvrirais quoi qu'il arrive, je ne le laisserais pas s'en tiré, même si c'est vrai qu'en tant qu'agent, je devrais te dire de ne pas te laisser aller avec tes émotions, mais je te comprend parfaitement.

Oui, c'est vrai qu'elle est blonde, mais de toute façon je refuse qu'elle s'approche de lui hors de ma présence, je ne veux pas qu'elle le touche, je sais très bien qu'il va un jour me demander de faire des recherches pour retrouver sa mère, mais j'ai pas envie qu'il soit déçu

C'est entre moi et lui, je doit régler sa toute seule..

Tout le monde pouvait comprendre sa colère et moi en premier, je sais que si on tuait mes parents, je serais dans un sale état et je ferais tout pour retrouver l'assassin de mes parents, je ne voulais pas l'empêcher et je sais que je ne ferais rien contre elle, mais elle savait que si elle le tuait comme ça, elle aurait des problèmes et je voulais a tout prix l'aider dans cette affaire, je sais qu'elle n'acceptera pas mon aide aussi facilement, je la vois se lever et je fais de même, je me devais de trouver quelque chose et je me dis que ce que j'allais lui proposé, elle me le refuserait sans doute, mais bon qui ne tente rien n'a rien.

Je sais que tu veux régler cette histoire, mais si tu pars seule dans une affaire alors que je suis ton coéquipier, alors le patron va trouver ça bizarre, il faut que tu me laisses venir et t'aider, je te laisserais faire ce que tu veux, je serais là pour t'aider, je te couvrirais, sache que je ne jouerais pas contre toi.

Je la suis et je voulais vraiment qu'elle accepte mon aide, je ne ferais rien contre elle, c'était ma parole et elle savait que j'étais du genre à tenir mes paroles, je n'étais pas ce genre de mec qui disait quelque chose et qui ne le faisais pas, non, quand je disais quelque chose tant pis, je le faisais même si ça ne me faisait pas toujours plaisir.

.. Ecoute, je voudrais bien, mais... C'est entre moi et lui comme je tes dis. Il à tuer mon père et ma mère c'st suicider à cause de lui. Maintenant, il vas le payer très chère..

Alors que je la vois elle était a fond dans ses recherches, elle refusait mon aide comme prévu, je savais qu'elle était du genre têtue et je pense que personne pouvait lui reprocher ça, vu que ça faisait d'elle un agent redoutable, si j'étais un tueur ou un voleur, je ferais surtout très attention a elle, contrairement a elle, j'étais sans doute plus calme. Enfin alors qu'elle se lève en direction de son bureau, j'avais compris un petit truc, alors j'enfile vite fait mon gilet et je prends mon révolver et la range et je me dirige vers elle, elle n'était pas encore partie et heureusement.

Laisse-moi juste t'accompagner pour être sur que tu ne te feras pas tué par cet homme, ton père a été tué à cause de lui alors laisse moi juste te protéger, comme un meilleur ami le ferais, tu sais très bien que je tiens à toi et que je ne voudrais pas que tu souffres d'une balle. Je préfère juste être là prêt de toi. Je ne ferais rien, je ne t'empêcherais pas de faire ce que tu as envie, je ne serais pas un boulet je te le promet.

Je la regarde, j'étais devant elle, je la laisserais passé quoi qu'il arrive, je vois déjà des gens qui nous regarde, j'avais baissé le ton pour que peu de personne m'entendent sauf bien-sûr Kendra, je ne voudrais pas que tout le monde sache son histoire.

Me faire tuer ? Tu rigole la ? Jamais je me ferais tuer, d'accord tu vient mais tu te tais.. Je veux régler sa avec lui tu te mêle pas d'accord ? Faut que je le fasse pour... Mes parents...

Donne moi les clés.

S'il y avait bien une chose que je faisais quand j'appréciais une personne, je faisais tout pour qu'elle m'accepte dans sa mission solo, comme je l'es promis, je ne ferais rien, je ne parlais pas, je la laisserais faire, je n'étais pas du genre à me mêler des choses, mais là je ne voulais pas qu'il lui arrive quelque chose, c'était sans doute mon côté trop protecteur, surtout depuis la naissance de mon fils. Enfin alors que j'étais dans son bureau, elle ferme la pote pour que personne ne nous écoute et de toute façon j'allais le faire, mais elle avait pris les devant.

D'accord, comme je te l'ai dis, je ne ferais rien, je te laisserais faire, je ne parlerais pas, je serais là en tant qu'assistant. C'est normal que tu veuilles le faire pour tes parents et je comprends très bien c'est pour ça que je ne ferais rien.

Bon bien-sûr si elle risque de ce prendre une balle, je ferais tout pour qu'elle ne se la prenne pas, le mieux c'est qu'on en finisse assez vite avec cette histoire, qu'elle puisse enfin respirer de nouveau dans ce monde. Alors que j'étais dehors, je fais un signe au patron pour lui dire que tu allons enquêter, il me fait un signe pour dire qu'il était d'accord, une fois dehors elle me demande les clés je les sors de ma poche.

Voilà

Puis je monte dans la voiture en l'attendant dans la voiture.

Met ta ceinture chéri !

Ce qui était bien quand on était dans la police ou le FBI, c'est qu'on avait le droit de ne pas respecter le code, mais ce n'était pas une raison suffisante pour faire des morts, enfin alors qu'elle me dit de mettre ma ceinture, je le fais, je savais que quand elle était comme ça, pour ma survie, au cas où, il fallait que je la mette et après avoir fait des courses poursuites pour rattraper des gars qui s'enfuient, je savais qu'il fallait que je la mette, elle avait de sacrés reflexes en conduisant, donc je lui faisais confiance, alors qu'elle passe dans les rues aussi vite, elle avait mit la sirène et malgré que je faisais ce métier depuis assez longtemps, je trouvais que partir en mission était la partie de mon job que j'aimais beaucoup, même si c'est vrai que notre métier était assez dangereux, mais heureusement que nous étions là, enfin je lui dis.

Je suis sur qu'avant de lui tirer une balle, tu vas essayé de savoir pourquoi il a fait ça hein ?

Je connaissais toutes ses mimiques a force d'être avec elle, je savais comment elle allait réagir, mais je savais que ce genre d'assassin ne se laissera pas faire et je voulais être la pour la protéger, j'avais ma plaque dans mes poches et mon flingue, enfin je regardais toutes les voitures qui nous laissaient passées.

Bravo, tu me connait bien à ce que je voit.

A force de travailler avec elle, j'apprenais toutes ces mimiques et aussi son regard, a quel point que je savais quand il ne fallait pas la cherchée, surtout quand on tombe nez-à-nez avec quelqu'un qu'on doit interroger sur un meurtre, je peux vous dire que même un gars de la mafia ce pisserait dessus, c'est sans doute pour ça que la voulais en amie et pas en ennemie ça me ferait vraiment chier. Enfin alors qu'elle accélère, je me disais bien aussi qu'elle n'était pas dans son état, qu'elle ne roulait pas encore au maximum, alors qu'elle me répond, je souris en coin et je lui dis.

A force j'apprends à te connaître, tu es comme ça et j'adore cette facette de toi.

Enfin une fois qu'on était arrivé, elle avait donné un bon coup de frein, je me suis tenu bien avant pour ne pas me prendre quelque chose dans la face, alors qu'elle descend, j'enlève ma ceinture, puis je descend, je sors ma plaque et je la suis, comme promis je ne faisais rien et je ne disais rien, j'avais juste sorti mon flingue, c'est-on jamais, je pouvais déjà voir des gens qui sortaient de chez eux.

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